Il est évident que des faits traumatisants ce produisent régulièrement, c'est, peut-être une pensée de bisounours, plein d'espoir que l'on capture vivant leur(s) auteur(s), sans avoir à faire de blessés et que parvienne à les suivre psychologiquement pendant et après leur sortie de prison. Que l'on en fasse des exemples de réinsertion et surtout pas des martyrs... Les gens qui les "soutiennent" n'attendent que ça : des morts, pour justifier leurs conneries, pour justifier plus de haine.
On a parfois l'impression qu'on les traitent dans les médias de cas isolés... Alors que des auteurs prêts à passer à l'acte, l'on peut en croiser énormément sur les réseaux sociaux. Et même si seuls 0,5% sont réellement capables de violence, ça suffira à créer des tas d'auteurs potentiels...
On peut aussi avoir l'impression morbide que si tout ce bordel se calme, il ne se passera pas grand chose pour régler le problème profond. Qu'on va recommencer comme avant alors qu'une grande part de la population a été fortement impactée psychologiquement.
S'il y a un vrai plan de relance à faire, il est certainement psychologique avant d'être économique.